27 avril 2019

De Clémence


Regardez cette Reine admirable en qui Jésus s’est incarné. C’est Elle qui nous L’a donné pour le salut des hommes, Elle est la rosée de la grâce car Elle a été le réceptacle du Sang divin.
Elle ne laisse jamais partir ses enfants sans les regarder, étendre les bras et les mains pour les protéger. Elle est là pour nous bénir. Son Cœur nous donne tout son amour miséricordieux, royal et puissant. Elle est déjà pour nous un ciel sur la terre.

24 avril 1964

Du Pape François



Témoins de la résurrection




En ce lundi de fête, dit “lundi de l’Ange“, la liturgie fait retentir l’annonce de la Résurrection proclamée hier : « Christ est ressuscité, alléluia ! ». Dans le passage évangélique du jour, nous pouvons entendre l’écho des paroles que l’Ange adresse aux femmes accourues au sépulcre : « Vite, allez dire à ses disciples : Il est ressuscité d'entre les morts » (Mt 28, 7). Nous entendons comme adressée à nous aussi l’invitation à “faire vite“ et à “aller“ annoncer aux hommes et aux femmes de ce temps ce message de joie et d’espérance. D’espérance certaine, parce que depuis le moment où, à l’aube du troisième jour, Jésus crucifié est ressuscité, le dernier mot n’est plus celui de la mort, mais de la vie ! Et c’est notre certitude : le dernier mot n’est pas le sépulcre, n’est pas la mort, c’est la vie ! C’est pourquoi nous répétons tant : «Christ est ressuscité», parce qu’en Lui, le sépulcre a été vaincu, la vie est née.
En vertu de cet événement, qui constitue la véritable nouveauté de l’histoire et de l’univers, nous sommes appelés à être des hommes et des femmes nouveaux selon l’Esprit, en affirmant la valeur de la vie. Nous serons des hommes et des femmes de résurrection, des hommes et des femmes de vie si, au milieu des événements qui tourmentent le monde - il y en a tant aujourd’hui -, au milieu de la mondanité qui éloigne de Dieu, nous savons accomplir des gestes de solidarité et des gestes d’accueil, nourrir le désir universel de paix et l’aspiration à un environnement exempt de dégradation. Il s’agit de signes communs et humains, mais qui, soutenus et animés par la foi dans le Seigneur ressuscité, acquièrent une efficacité bien supérieure à nos capacités. Et c’est ainsi parce que le Christ est vivant et à l’œuvre dans l’histoire par son Esprit Saint : il rachète nos misères, il rejoint tout cœur humain et redonne espérance à tous ceux qui sont opprimés et souffrants.
Que la Vierge Marie, témoin silencieuse de la mort et de la résurrection de son Fils Jésus, nous aide à être des signes limpides du Christ ressuscité parmi les événements du monde, pour que tous ceux qui sont dans l’épreuve et dans les difficultés ne demeurent pas victimes du pessimisme et de la défaite, de la résignation, mais trouvent en nous des frères et sœurs qui leur offrent soutien et consolation. Que notre Mère nous aide à croire avec force dans la résurrection de Jésus : Jésus est ressuscité, il est vivant ici, parmi nous, et c’est un mystère admirable de salut qui a la capacité de transformer les cœurs et la vie.
Et qu’elle intercède de façon particulière pour les communautés chrétiennes persécutées et opprimées qui sont aujourd’hui, en de nombreux endroits du monde, appelées à un témoignage plus difficile et plus courageux.


Regina caeli 17 avril 2017

20 avril 2019

De Clémence


Jésus m’a dit : « Donne-toi toute à Moi, telle que tu es, et Je me donnerai tout à toi »

18 février 1947

Christ est ressuscité !


Le Christ est ressuscité, levons-nous !


13 avril 2019

De Clémence


Ne faites pas un seul pas, un seul geste, une seule lettre, ne dites aucune parole sans consulter Marie Reine Immaculée.
Elle vous indiquera Elle-même tout ce que vous avez à faire.

19 novembre 1934

Du Pape François


Le problème ? Devenir un sel qui n’a plus la saveur de l’Évangile


Les chrétiens sont un petit nombre dans ce pays, mais cette réalité n’est pas, à mes yeux, un problème, même si elle peut parfois s’avérer difficile à vivre pour certains. Votre situation me rappelle la question de Jésus : « À quoi le règne de Dieu est-il comparable ? À quoi vais-je le comparer ? Il est comparable au levain qu’une femme a pris et enfoui dans trois mesures de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. » (Lc 13, 18.21).
En paraphrasant les paroles du Seigneur nous pourrions nous demander: à quoi est comparable un chrétien sur ces terres ? A quoi puis-je le comparer ? Il est comparable à un peu de levain que la mère Église veut mélanger à une grande quantité de farine, jusqu’à ce que toute la pâte ait levé. En effet, Jésus ne nous a pas choisis et envoyés pour que nous devenions les plus nombreux. Il nous a appelés pour une mission. Il nous a mis dans la société comme une petite quantité de levain - le levain des béatitudes et de l’amour fraternel par lequel, comme chrétiens, nous pouvons rendre présent son Règne. Ici me vient à l’esprit le conseil que saint François a donné à ses frères quand il les a envoyés : “Allez, et prêchez l’Évangile - et si c’est nécessaire, aussi avec les paroles“.
Cela signifie, chers amis, que notre mission de baptisés, de prêtres, de consacrés, n’est pas déterminée particulièrement par notre nombre, ou par l’espace que nous occupons, mais par la capacité que nous avons de produire et de susciter changement, étonnement et compassion ; par la manière dont nous vivons comme disciples de Jésus, au milieu de celles et ceux dont nous partageons le quotidien, les joies, les peines, les souffrances et les espoirs (cf. Vat. II, Const. past. Gaudium et spes, n. 1).
Autrement dit, les chemins de la mission ne passent pas par le prosélytisme. Je vous le redis, ils ne passent pas par le prosélytisme ! Rappelons-nous Benoît XVI : “L’Église ne s’accroît pas par prosélytisme, mais par attraction, par le témoignage“. Non, les chemins de la mission ne passent pas par le prosélytisme, qui conduit toujours à une impasse, mais par notre manière d’être avec Jésus et avec les autres. Le problème n’est donc pas d’être peu nombreux, mais de devenir insignifiants, de devenir un sel qui n’a plus la saveur de l’Évangile ou une lumière qui n’éclaire plus rien (cf. Mt 5,13-15). C’est ça le problème !
La situation nous paraît alarmante quand nous chrétiens, nous sommes harcelés par la pensée de pouvoir être signifiants seulement si nous sommes une masse, et si nous occupons tous les espaces. Mais vous savez bien que la vie se joue avec la capacité que nous avons de “lever“ là où nous sommes semés, et avec qui nous nous trouvons, même si apparemment, ça n’apporte pas d’avantages tangibles ou immédiats (cf. Exhort. apost. Evangelii gaudium, n. 210). Être chrétien, ce n’est pas adhérer à une doctrine, ni à un lieu de culte, ni à un groupe ethnique. Être chrétien c’est une rencontre, une rencontre avec Jésus-Christ. Nous sommes chrétiens parce que nous avons été aimés et rencontrés, et non pas parce que nous sommes des fruits du prosélytisme. Être chrétien, c’est se savoir pardonné, se savoir invité à agir de la manière dont Dieu a agi avec nous puisque « à ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. » (Jn 13, 35).

Rencontre avec les prêtres et les consacrés à la cathédrale de Rabat 31 mars 2019



6 avril 2019

De Clémence


Donne à Jésus ton impuissance, et dis-lui souvent : Jésus, je t’aime.
Comment ne pas aimer notre misère quand on voit quelle source de richesse elle peut devenir pour Dieu !
Viens vivre dans l’intimité de Jésus. Il veut te presser sur son Cœur, il veut te donner son baiser d’amour.

1934

Du Pape François


IL VIT, LE CHRIST !