De Clémence

 

Ô Marie Reine Immaculée,

regardez notre pauvre monde bouleversé et malade.

Vous connaissez nos misères et nos faiblesses : ayez pitié de nous.

Jésus vous a donné des droits sur toute l'humanité : il vous a confié les trésors de ses grâces, il veut par Vous nous accorder son pardon, et sa miséricorde.

C'est pourquoi, en ces heures si angoissantes, vos enfants se tournent vers Vous, comme vers leur unique espoir.

Nous reconnaissons votre royauté universelle, et nous voulons votre triomphe.

Nous avons besoin d'une Mère et de son Cœur.

Soyez la lumineuse aurore qui dissipe les ténèbres, et nous montre le vrai chemin de la vie.

Soyez la source toujours jaillissante, où l'on vient puiser le courage, la confiance et l'amour.

Soyez le lien qui unit tous les hommes, et le signe de la paix.

Soyez, comme vous l'avez toujours été, cette Mère des grands jours d'épreuve, qui nous sauve aux heures de péril.

Amen.

 

 

Du Pape François

 Dieu est proche de nous, sa patience nous accompagne

 

De Clémence

 

Aie foi en la grâce qui peut tout, en l’efficacité de la prière.

 

                                                                                        30 avril 1962

Du Pape François

 Vaincre le mal par le bien

 

De Clémence

 

Mes enfants, vous mourez de faim parce que vous ne mangez plus Dieu, vous ne venez plus boire à la Source qui seule peut tarir votre soif. Vous vivez en dehors de la Volonté de Dieu, c’est pourquoi vous connaissez tant d’épreuves, vous vivez en dehors de la grâce, c’est pourquoi vous êtes si faibles.

Mes enfants, je vous aime tant ! Je vous en supplie, unissez-vous à Celui qui a donné tout son sang pour vous, et Il vous unira à tous vos frères, Il vous rendra fidèles à tous vos engagements d’homme et de chrétien.

                                                                                        16 février 1964

Du Pape François

 Convertir l’arrogance du temps de l’horloge en la beauté des rythmes de la vie

 

De Clémence

 

Marie Reine Immaculée est apparue dans toute la splendeur de sa gloire, belle radieuse, rayonnante. Elle se penchait sur tous et sur chacun. Avec ses anges, doucement elle descendait, et ses pieds ont à peine frôlé la terre.

Oh qu’Elle était gracieuse, qu’elle était belle, mais belle, toute belle ! C’était comme un soleil resplendissant de chaleur, de beauté, d’attirance !... Un vent léger soufflait et faisait frissonner son vêtement, et scintiller les pierreries de sa couronne. Un doux sourire fleurissait sur ses lèvres et son regard profond restait fixé en nous. Il était impossible de s’en détourner, il restait ineffaçable en nous.

Elle avait revêtu tous les mérites de son Fils et des saints, et Elle disait : J’aime tant mes enfants ! Je leur donnerai tout le nécessaire pour retrouver le bonheur, et réaliser la Volonté de Dieu.

 

                                                                                        9 décembre 1963

 

Du Pape François

 De la poussière à la Résurrection