Vous tous qui êtes fatigués,
qui vous donnez sans compter en toute occasion, à tous et à chacun, laissez
quelques instants vos occupations et venez près de votre Mère. Approchez-vous
pour que je puisse vous bénir. Venez tout près de moi pour que je puisse
déposer sur votre front mon baiser, et vous presser sur mon Cœur maternel.
Je veux vous parler de Jésus,
vous dire qu’Il est vraiment consolé par votre générosité, votre dévouement de
jour et de nuit. Il vous remercie de Lui ramener beaucoup d’âmes.
Continuez de toujours avoir
pitié de la misère. Passez votre vie sur la terre en semant le bien, en faisant
refleurir la foi et la charité dans les cœurs.
7
avril 1959
