La pureté de Marie nous parle, elle nous captive, elle nous comble. Cette pureté répond à la souffrance intime de notre cœur.
Même si nous sommes déchirés entre des forces contraires, si le mal se réveille à tout instant dans l’intime de notre être, si nous n’arrivons pas à dominer la révolte de nos sens et de nos passions, si notre regard n’arrive pas à se maintenir dans la lumière, reprenons courage et confiance : sans cesse se penche sur notre misère une Mère qui n’a pas connu nos défaillances, qui n’a pas pactisé avec l’adversaire, une Mère dont l’amour n’a jamais été souillé d’aucune faiblesse, une Mère immaculée.
Il fallait que notre mère soit
pure pour nous montrer le chemin de la pureté, pour nous y conduire
et nous y maintenir. En elle, reconnaissons ce que nous aimons, ce
que du plus profond de nous-mêmes, nous voulons être.
Janvier 1954
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