26 septembre 2020

De Clémence

 

Le Cœur de Marie Reine Immaculée est grand ouvert pour tous ses enfants.

L’œuvre d’amour est commencée, espérons tout de cette vie d’amour.


13 décembre 1954

Du Pape François

 


Viens travailler à ma vigne




19 septembre 2020

De Clémence

 Aime avec amour, donne-toi avec charité, garde toi petite et humble, fais-toi du bien, alors ton prochain vivra de ton bonheur. 

Que ta conduite soit celle de Marie sur la terre, cherche chaque jour à lui ressembler. 

Vis de sa vie, va te nourrir à la même source qu’Elle, et aime ton prochain comme elle a aimé le sien. Demande-lui d’être comme elle une petite reine qui garde et protège tous ceux qui sont sur la terre.

 

1959

Du pape François

 Contempler et prendre soin, dans une relation fraternelle avec la création




Prendre soin de celui qui est malade, de celui qui en a besoin, de celui qui est laissé de côté, c’est une richesse humaine, et également chrétienne. Eh bien ce soin, nous devons également l’apporter à notre maison commune, à la terre et à toutes les créatures. Toutes les formes de vie sont liées et notre santé dépend des écosystèmes que Dieu a créés et dont il nous a chargés de prendre soin (cf. Gn 2, 15). En abuser est un grave péché qui crée des dommages, qui fait mal, et qui rend malade.

Quel est l’antidote contre la maladie de ne pas prendre soin de la maison commune ? N’y a-t-il pas un vaccin pour cela, pour le soin de la maison commune, pour ne pas la laisser de côté ? Le meilleur antidote contre cet usage impropre de notre maison commune est la contemplation. “Quand on n’apprend pas à s’arrêter pour admirer et pour apprécier ce qui est beau, il n’est pas étonnant que tout se transforme en objet dont on use et abuse sans scrupule“ (cf. Laudato Si n. 215) - et même en objet jetable.

Notre maison commune, la création, n’est pas une simple “ressource“. Les créatures ont une valeur en elles-mêmes et “reflètent, chacune à sa façon, un rayon de la sagesse et de la bonté infinies de Dieu“ (CEC n. 339). Cette valeur, ce rayon de lumière divine doit être découvert, et pour le découvrir, nous avons besoin de rester en silence, nous avons besoin d’écouter, nous avons besoin de contempler. 

La contemplation guérit l’âme. Sans contemplation, il est facile de tomber dans un anthropocentrisme déséquilibré et orgueilleux, le “moi“ au centre de tout, qui surdimensionne notre rôle d’êtres humains en nous posant en dominateurs absolus de toutes les autres créatures. Une interprétation déformée des textes bibliques sur la création a contribué à cette vision erronée qui conduit à exploiter la terre jusqu’à l’étouffer - exploiter la création, c’est un péché.

Nous croyons être au centre en prétendant occuper la place de Dieu, et nous détruisons ainsi l’harmonie de la création, l’harmonie du dessein de Dieu. Nous devenons des prédateurs et nous oublions notre vocation de gardiens de la vie. Certes, nous pouvons et nous devons travailler la terre pour vivre et nous développer. Mais le travail n’est pas synonyme d’exploitation, et il est toujours accompagné par les soins : labourer et protéger, travailler et prendre soin, telle est notre mission (cf. Gn 2, 15).

Nous ne pouvons pas prétendre continuer à nous développer sur le plan matériel, sans prendre soin de la maison commune qui nous accueille. Nos frères plus pauvres et notre mère la terre gémissent à cause des dommages et de l’injustice que nous avons provoqués, et ils réclament une voie nouvelle, ils réclament de nous une conversion, un changement de cap : prendre soin également de la terre, de la création.

Il est donc important de retrouver la dimension contemplative et de regarder la terre, la création comme un don, et non pas comme quelque chose à exploiter pour le profit. Quand nous contemplons, nous découvrons chez les autres et dans la nature quelque chose de beaucoup plus grand que leur utilité. Contempler, c’est aller au-delà de l’utilité d’une chose. Contempler ce qui est beau ne veut pas dire l’exploiter. La contemplation nous apprend la gratuité : nous découvrons la valeur intrinsèque que Dieu a conférée aux choses.

Comme l’ont enseigné de nombreux maîtres spirituels, le ciel, la terre et la mer, toutes les créatures possèdent cette capacité iconique, cette capacité mystique de nous reconduire au Créateur et à la communion avec la création. 

Nous sommes à l’intérieur de la nature, nous faisons partie de la nature, et celui qui contemple éprouve de l’émerveillement non seulement pour ce qu’il voit, mais également parce qu’il sent qu’il fait partie intégrante de cette beauté, et il se sent également appelé à la préserver, à la protéger.

Mais celui qui ne sait pas contempler la nature, la création, ne sait pas non plus contempler les personnes dans leur richesse. Celui qui vit pour exploiter la nature finit par exploiter les personnes et les traiter comme des esclaves. Si tu ne sais pas contempler la nature, il te sera très difficile de savoir contempler les gens, la beauté des personnes, ton frère, ta sœur.

Et celui qui sait contempler se mettra plus facilement au travail pour changer ce qui cause la dégradation et des dommages à la santé. Le contemplatif en action tend à devenir un gardien de l’environnement, et c’est beau ! Chacun de nous doit être le gardien de l’environnement, de la pureté de l’environnement, en cherchant à conjuguer les savoirs ancestraux de cultures millénaires avec les nouvelles connaissances techniques, afin que notre style de vie soit vraiment durable.

Contempler et prendre soin, deux attitudes qui peuvent corriger et rééquilibrer notre relation d’êtres humains avec la création. Très souvent, notre relation avec la création semble être une relation entre ennemis : détruire la création à mon avantage, exploiter la création à mon avantage, mais cela se paye cher.

Si au contraire nous avons cette relation fraternelle avec la création, nous deviendrons les gardiens de la maison commune, les gardiens de la vie et les gardiens de l’espérance, et nous sauvegarderons le patrimoine que Dieu nous a confié, afin que les générations futures puissent en bénéficier.


Audience du 16 septembre 2020



13 septembre 2020

De Clémence

 

La prière, le sacrifice, la souffrance de toute une vie apportent de grandes grâces. Elles donnent à l’âme le moyen d’éclairer toutes les autres âmes, de porter remède aux maux les plus délicats, les plus profonds, les plus particuliers.


23 avril 1964

Du Pape François

 

La correction fraternelle


5 septembre 2020

De Clémence

 

Ô Marie Reine Immaculée, donnez-moi la grâce d’une vie qui soit de plus en plus une vie d’amour. Que ma vie meure à elle-même et que je me défasse de mon caractère, de mes défauts, de mes mauvaises habitudes, de ce qui me tourmente et me trouble parce que ma foi n’est pas assez éveillée, que ma confiance en Vous n’est pas pleine et entière.

Je voudrais sur terre ne rien faire d’autre que la volonté de Dieu et à chaque instant du jour vous prodiguer joie et consolation. Je voudrais tout faire avec amour et avoir de l’amour dans chaque action que je pose, grande ou petite, matérielle ou spirituelle.

Développez pour cela mon cœur aux dimensions du vôtre, faites-moi toute belle afin que je devienne sur terre votre reflet, et que je réchauffe toujours le cœur des âmes qui s’approchent de moi de cet amour continuel que vous mettez en moi.


Pâques 10.4.1963

Du Pape François

 

Prenons notre croix