À une maman qui attend un
enfant
Vois-tu, si la tristesse, les
soucis d’une maman peuvent marquer le caractère du petit enfant
qu’elle porte en elle, elle peut aussi lui accumuler un capital de
richesses, de force, de lumière, qui restera suspendu jusqu’au
moment de son baptême, mais qui lui donnera le goût du bien, le
goût de Dieu.
Ne prépare pas seulement
matériellement la naissance, mais sois joyeuse et généreuse dans
ton attente, confiante et abandonnée, pour que ton enfant naisse
enveloppé de grâces.
Et sois généreuse non seulement
pour ton petit enfant, mais encore pour donner à toutes les autres
mamans le goût et l’amour de leur maternité. Il faut qu’en te
voyant souriante, énergique, paisible, chacune comprenne mieux le
grand bonheur, la mission qui lui est donnée.
24 mars 1957
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