Rien
n’est si doux sur cette terre que la paix de l’esprit et du cœur. Quand l’âme prend son essor vers Dieu, elle goûte alors les vrais
délices.
Faisons,
cher enfant, un grand pas vers la vraie vie, et expérimentons
combien toute âme se trouve heureuse lorsqu’elle se tourne vers
Dieu.
Le
monde parle de son prochain, le critique, mais tout cela ne porte pas
au bonheur.
Nous
au contraire, voyons les merveilles que Dieu nous a apportées, la
bonté qu’Il a pour ses créatures. Servons-Le avec fidélité.
Taisons-nous, prions, souffrons, et alors nous aurons le courage et
la lumière pour montrer toute la vérité.
4
août 1934
Semons
autour de nous le bien, le vrai, l’éternel, et entourons les âmes
de soin, de bonté, de prière, afin de les conduire toutes vers le
vrai centre de la vraie vie : l’Évangile, la sainte
Eucharistie, la grâce de tous les instants.
6
août 1934
Petit
enfant solitaire, vivez à l’ombre de la Croix, seul avec le Seul,
et dites souvent à votre Maman chérie du Ciel : « J’ai
tant besoin de toi pour te confier mes peurs et mes misères, et tous
les secrets de mon cœur. Oh ! ne refuse pas de venir à mon
aide et prête-moi sans cesse ton secours : je m’appuie sur
toi.
Laisse-moi
dormir sur ton cœur, enveloppe-moi de ton manteau virginal. Viens,
toi, oh ! viens me conduire et me porter à Jésus ! »
Décembre
1935
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